Ma philosophie

Essayer, c’est réussir ou échouer. Ne pas essayer, c’est échouer.

Ça s’fait pas! est un mode de pensée qui condamne à l’anonymat. La preuve, c’est que l’Histoire ne retient que le nom de ceux qui l’ont fait!

Si une personne exagère dans un sens, renseigne-le, c’est un ignorant. S’il répond en exagérant dans l’autre sens, oublie-le, c’est un imbécile.

La mauvaise réputation, c’est ce que les gens avec une vie ennuyante donnent aux gens qui ont une vie intéressante.

Le sage s’attaque à l’argument. Le sot s’attaque à l’argumenteur.

On ne peut raisonner seulement qu’avec des gens raisonnables.

On cherche toujours à aider les autres à réussir dans un aspect de leur vie avec lequel nous avons nous-mêmes échoué dans la notre.

L’amour éternel ne peut exister que si ta priorité est de te consacrer à l’amour plutôt qu’à te demander comment le rendre éternel.

Pour acquérir la confiance et l’estime d’autrui, dire la vérité ne suffit pas. Encore faut-il maîtriser l’art de savoir quand la dire, à qui la dire, mais surtout laquelle il faut dire. Car trop souvent, la seule vérité que les gens veulent entendre, c’est celle dont ils peuvent tirer espoir, orgueil ou profit.

Quand le droit à la liberté d’expression est la seule et unique chose que tu peux trouver pour justifier une opinion, ça démontre la valeur réelle de la dite opinion, c’est à dire aucune.

Aide à se relever quelqu’un que l’on a toujours fait tomber, éventuellement il te fera un croche-pied. Normal, c’est tout ce qu’il a appris dans sa vie en guise de méthode pour avancer et dépasser les autres.

Timide et mal à l’aise en public, torride pendant la baise en privé.

L’optimiste ne doute pas de réussir, alors pour lui le mot essayer ne fait même pas partie de son vocabulaire.
Le pessimiste est convaincu qu’il va échouer alors il n’essaye même pas.
Le réaliste sait qu’en essayant il peut réussir ou échouer, et ainsi est prêt à faire face à ces deux éventualités.

Lorsque les gens demandent ton aide pour se sortir d’une vie malheureuse, contente-toi de les renseigner sur ce qu’ils peuvent faire afin de s’en tirer eux-mêmes. À partir de là, ceux qui veulent vraiment s’en sortir vont y arriver tout seul, et ceux qui se complaisent dans leur malheur vont y rester. Dans un cas comme dans l’autre, en les aidant plus que ça, tu perdrais ton temps.

La subtilité, c’est l’art d’essayer de passer comme étant plus intelligent que notre interlocuteur, en le mettant au défi de comprendre quelque chose que l’on rend délibérément obscur, parce que l’on est trop lâche pour être capable de s’exprimer franchement et clairement.

« Get à life! »: Ce que disent ceux qui ne font rien d’autre de leurs vies que de regarder comment les autres vivent la leur.

Courage de commencer.
Sagesse de pouvoir reconnaître si on peut réussir ou si c’est voué à l’échec.
Détermination de continuer dans le premier cas.
Humilité de s’arrêter dans le second.
Qui n’a pas ces quatre vertus se condamne à une vie de médiocrité.

Qui attaque sans preuve s’en justifie sans crédibilité.

Qui reconnaît ses torts descendra à court terme dans l’estime des sots, mais montera à long terme dans l’estime des sages. Qui refuse de reconnaître ses torts vivra l’inverse.

Avant que les gens puissent croire en nous, il faut d’abord croire en soi-même.

Le sage qui se sait entouré de chiens affamés laissera tomber un petit os une fois de temps en temps. Tandis que les chiens s’acharnent dessus avec satisfaction, ils sont trop distraits pour songer à chercher la viande.

Seul un idiot va se permettre de dire T’as du temps à perdre! à ceux qui ont fait quelque chose de leur temps, au lieu de justement l’avoir perdu à ne rien faire.

Le sage sait que la confiance en soi est la première étape à franchir avant d’avancer vers les étapes suivantes. Le sot croit que la confiance en soi est la seule et unique étape, et il ne fera aucun effort pour aller plus loin.

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Je ne cite personne, c’est 100% de moi. Ceci dit, je n’aime pas utiliser le mot philosophie pour décrire ma façon de penser. Trop souvent, la philosophie est utilisée dans le but de rendre acceptable une situation qui ne l’est pas. Il s’agit donc d’un mode de pensée dont le mot d’ordre est de nier la réalité. Elle utilise la voie facile, celle disant que la meilleure façon de se débarrasser d’un problème, c’est de faire comme si le dit problème ne nous dérangeait en rien. Il y a plusieurs autre mots pour décrire cette mentalité, les deux plus descriptifs étant négligence et lâcheté. Voilà pourquoi mes mots d’ordre ne se basent que sur du concret.

La Lâcheté Davidienne

Tout le monde connait l’histoire de David et Goliath telle que relatée dans l’Ancien Testament. Du moins, ceux de ma génération. Puisque je ne suis pas sûr pour les autres, la voici:

Goliath était un soldat géant philistin. Selon les documents historiques, il ne mesurait que 6 pieds 7, mais on suppose que ça passait comme imposant à une époque où les hommes dépassaient rarement 5 pieds.

Deux fois par jour, Goliath s’amusait à lancer un défi à l’armée israëlite: Un combat, seul à seul, contre n’importe lequel de leurs soldats, et l’issue de la bataille serait déterminée par ce combat singulier. Faut croire que la circoncision n’enlevait pas que le prépuce dans ce temps-là car nulle part ne trouvait-on de soldat juif ayant assez de couilles pour relever le défi.

Arrive donc le fameux David, un maigre berger adolescent qui se vantait de n’avoir peur de rien. Il le prouva en relevant le défi. Tout en restant à distance prudente du puissant géant, il lui lança un caillou.  Goliath le reçut en plein front et il tomba par terre, assommé. Profitant de l’incapacité de son adversaire à se défendre, David courut vers lui, lui prit son épée et le décapita. Impressionné par un tel courage, l’armée juive attaqua l’armée philistine tandis qu’elle était sous le choc, et la chassa hors du territoire.

Mais voilà, pour David, c’était gagné d’avance.  Dès que David s’est attaqué à Goliath, deux choses pouvaient arriver:
A) David gagnait, ce qui faisait de lui un héros, donc un symbole de courage de s’être attaqué à beaucoup plus grand et plus fort que lui, ralliant ainsi le peuple contre l’ennemi.
B) David perdait, ce qui faisait de lui un martyr, donc un symbole de courage de s’être attaqué à beaucoup plus grand et plus fort que lui, ralliant ainsi le peuple contre l’ennemi.

Peu importe l’issue du combat, à partir du moment où il s’est fait attaquer par plus faible que lui, Goliath avait perdu d’avance. En jouant la carte du Regardez, pauvre petit moi a est confronté à une grosse brute, quelle injuste inégalité, David s’assurait de manipuler la masse de façon à ce qu’ils se mettent tous avec lui et tous contre l’autre. Voilà ce que c’est, la Lâcheté Davidienne.

Voici six situations modernes de Lâcheté Davidienne:
1- Le délinquant qui, lors de la manifestation contre la brutalité policière, va lancer des briques dans les vitrines d’un poste de police.
2- La femme de 100 lbs qui va agresser physiquement et verbalement, sans la moindre retenue, son conjoint de 250 lbs.
3- Le mineur qui va insulter gratuitement un adulte.
4- Le membre de forum qui va s’attaquer aux modos.
5- Celui qui attaque sans relâche les grandes institutions telles Microsoft, McDonald’s, et même le Gouvernement.
6- La féministe qui va s’attaquer à tous les hommes.

L’exemple ultime de lâcheté davidienne serait une fille, mineure, petite, noire, immigrante, juive, lesbienne, obèse et handicapée qui s’en prend à un homme, mature, grand, blanc, québécois de souche, catholique (ou athée), hétéro, en forme et bien portant. Peu importe les vacheries qu’elle lui lancera, elle sait que s’il ose répliquer, alors elle pourra rallier le peuple derrière elle pour étiqueter son adversaire de sexiste, raciste, intolérant, homophobe, etc.

Quand tu t’arrange de façon à ce que le plus de gens possible t’aident à démolir ton adversaire, tu ne fais pas preuve de courage. Tu fais preuve que tu es rabaissant. Tu fais preuve que tu es contrôlant. Tu fais preuve que tu es manipulateur. Tu fais preuve que tu es abusif. Mais surtout, tu fais preuve que tu es lâche.

Et voilà pourquoi, lorsque l’on est attaqué par une personne inférieure en force, en âge, etc, la meilleure chose à faire, c’est de répondre: « Puisque ______(nom de la personne)_______ est protégée par la Clause de la Lâcheté Davidienne, je suis obligé de déclarer forfait. »

Et si on vous demande ce que c’est que la lâcheté davidienne, vous n’avez qu’à mettre un lien vers ce billet de blog.

Pour en finir avec les disputes de forums

Récemment, sur un des forums que je fréquente, il y a eu un sujet intitulé Arrêtez-donc de vous disputer su’l’forum! Je me suis penché sur la question. J’en suis arrivé à la conclusion qu’il existe une solution très simple pour empêcher ce genre de chose d’arriver. Voici comment:

À la base, pour qu’il y ait une dispute, il faut deux personnes. Simple logique, puisqu’une personne seule ne peut pas entrer en conflit avec elle-même. C’est seulement à partir du moment où une seconde personne est en désaccord avec la première que la chicane pogne.

Exemple: Une usagère du nom de RespecTueuse (nom fictif) décide de s’amuser aux dépends d’un autre usager nommé P€d0_Phil (nom, je l’espère, fictif aussi). Elle écrit alors: « P€d0_Phil est un mangeux d’bat de caniche qui se crosse en regardant des photos de tracteurs tout en se rentrant un toaster à 4 tranches dans l’cul. » Tant que le monde va la trouver drôle, ou bien s’abstenir de répondre, tout ira bien. Par contre, si P€d0_Phil ose protester, ah ben là, là, ça y est, la chicane va être pognée. Et puisque c’est P€d0_Phil qui aporte la dispute en protestant, la majorité va se ranger du bord de RespecTueuse, parce que elle, au moins, n’a apporté rien d’autre que de l’amusement.

Donc, pour ne pas se disputer sur le forum, la solution est simple: Laissez-vous abuser, insulter et niaiser sans rien dire. Pas de protestation, donc pas de conflits d’opinion, donc pas de chicane. Évidemment, je n’ai jamais dit que les abus allaient arrêter. Seulement les disputes. C’est ça le sujet du billet.

Z’êtes pas d’accord avec ce que je viens de dire? Alors vous avez le choix: Ou bien appliquer cette méthode, ou bien apporter la dispute en commentant.

Nous sommes injustes envers la vie.

On se lève le matin et tout porte à penser qu’il s’agit d’une journée comme les autres. Puis, arrive une série de petits malheurs. Il n’y a pas d’eau chaude pour la douche. Le lait a caillé. L’ordinateur cesse de fonctionner. L’auto a un problème de moteur et/ou une crevaison. Et tout ça arrive dans le pire des moments. Et on est là, découragé, à se demander pourquoi la vie est aussi injuste avec nous.

Sauf que dans les faits, c’est le contraire. Ce sont nous, les êtres humains, qui sommes injustes avec la vie, et ce depuis que la civilisation existe.

Voyez comment les choses fonctionnent depuis que le monde et l’humanité existe. Dès la naissance, la mort guette déjà bébé qui n’a absolument aucune capacité à survivre par lui-même. Il devait compter sur ses néandertaliens de parents pour réussir à vivre assez vieux pour procréer, et la nature ne faisait rien pour leur venir en aide : Épidémies, températures qui ne sont toujours pas clémentes, nourriture rare et difficile à se procurer, végétaux empoisonnés, prédateurs, etc. Pas étonnant que l’on mourrait de vieillesse entre 20 et 30 ans dans ce temps-là.

L’humain a réussi, peu à peu, à prendre des éléments de la nature et à les transformer de façons dont la nature n’a jamais permis. Ça a commencé par les maisons, les vêtements, l’agriculture, l’élevage. Les siècles ont passé, la science a progressé, et nous avons continué de transformer le monde. Nous l’avons fait de façon à s’offrir d’abord des conditions de survie, puis de vie, puis de luxe. Nous avons aujourd’hui les maisons, l’électricité, l’automobile et mille autre choses qui font partie de notre quotidien, et ce depuis notre naissance.

Et c’est justement le fait que nous avons ceci depuis notre naissance qui fait que pour beaucoup, la vie, le naturel, c’est ça : Un univers dans lequel tout fonctionne à merveille. Un univers où les autos roulent sans problème, ou l’électricité ne manque jamais, où on n’a jamais faim, jamais froid, où on ne s’ennuie jamais. Et à cause de ça, on a de la difficulté à comprendre qu’il est contre-nature que toutes ces choses non-naturelles fonctionnent. La nature, c’est le métal qui rouille. C’est caoutchouc qui s’assèche et s’effrite. Ce sont les composantes d’une pile qui corrodent. Le bois qui moisit. La terre qui bouge et fait craquer l’asphalte et les fondations de maison.

Et il ne s’agit pas que des choses matérielles. L’humain est un animal. Les animaux ont l’instinct de se battre, de tuer. Alors, pour aller contre notre nature, nous avons créé des lois pour empêcher ça. Et pour beaucoup d’hommes et de femmes, être monogame n’est pas dans leur nature. Nous avons donc crée des règles de société qui nous obligent moralement à la fidélité. Mais là encore, parfois, nous devenons victime lorsqu’une personne près de notre entourage tombe en panne morale. Une amitié se brise. Un couple cesse de fonctionner.

À chaque fois que quelque chose brise, tombe en panne, cesse de fonctionner, ce n’est pas la vie qui est injuste envers nous. C’est nous qui avons, pour un instant, cessé d’être injuste envers la vie. Une vie qui ne fait rien d’autre que suivre son cours et qui, en défaisant ce que nous avons fait contre son gré, ne fait que reprendre ses droits.

Ceci n’est pas une vision pessimiste de la vie. C’est tout simplement quelque chose à se souvenir à chaque fois que l’on ressent de la frustration lorsque quelque chose qui aurait dû fonctionner ne fonctionne pas. Parce que dans les faits, justement, ça n’aurait jamais dû fonctionner pour commencer.

Alors au lieu de frustrer contre quelque qui ne fonctionne plus, il faudrait au contraire être reconnaissant que ça ait fonctionné le temps que ça l’a fait.

Internet et le déclin des valeurs sociales

Eh oui. Si les vieilles valeurs sont en déclin, c’est là faute à Internet. Ça peut sembler simple comme affirmation, pourtant…

La Fidélité: Avant, un gars qui voulait tromper sa blonde devait faire l’effort de sortir de chez lui et aller cruiser. Aujourd’hui, internet amène les occasions de drague chez lui. Même une personne qui ne l’aurait pas fait avant se retrouve aisément tenté par la facilité de la chose.

Le Respect: C’est pareil: Avant, un gars qui voulait manquer de respect à autrui avait rarement les couilles de le faire dans sa face. Au pire, il le faisait dans son dos. Aujourd’hui, internet permet d’insulter directement qui tu veux, bien à l’abri derrière ton écran. Même une personne qui ne l’aurait pas fait avant se retrouve aisément tenté par la facilité de la chose.

Le Courage: Avant, un gars qui disait quelque chose en public avait le courage d’affirmer ses opinions, et ce en son propre nom. Aujourd’hui, internet lui permet de dire n’importe quoi, sous une fausse identité, et de se rétracter derrière l’excuse comme quoi « C’est yink internet, c’est pas la vraie vie » lorsqu’il refuse de prendre la responsabilité de ses faits, gestes et paroles.

La Pertinence: Avant, lorsque tu voulais gagner un argument, tu devais avoir recours à ta logique et à ton intelligence. Aujourd’hui, sur internet, peu importe le sujet de la dispute, celui qui perd conclut en traitant l’autre de loser pas de vie qui perd son temps à argumenter sur le net alors qu’y fait beau dehors, un argument qui a zéro rapport au sujet de discussion.

La génération de l’irresponsabilité
L’argument le plus stupide que prennent les gens pour se déresponsabiliser de leurs paroles négatives, blessantes et gratuitement cheap, c’est la grande classique citée plus haut « C’est yink le net, c’est pas la vraie vie. » Pourquoi est-ce un argument stupide? Parce que les paroles négatives dont il est question, est-ce internet qui a décidé de son propre chef de l’écrire?  Non! C’est une personne dans la vraie vie qui s’est assise devant l’ordinateur qu’il possède dans la vraie vie en tapant ce texte avec les doigts qu’il a dans la vraie vie sur le clavier qu’il a dans la vraie vie.  Mais voilà, en quinze ans à vivre quotidiennement une partie de leurs temps libre de façon virtuelle, la nouvelle génération de jeunes adultes a été exposée quotidiennement au concept de déresponsibilisation qu’amène le net.  Influencée par celle-ci, elle est maintenant la génération qui a le moins le sens des responsabilités, et ce même dans la vraie vie.

Le courage du lâche
Quand un lâche se sait à l’abri, alors il joue à se faire accroire qu’il est courageux. Et il le fait en faisant chier les autres. Normal: Quand on n’a aucune estime de soi, notre premier réflexe n’est pas d’essayer de s’élever au dessus de la masse. C’est plutôt essayer de caler la masse plus bas que soi-même.

Vous voulez un exemple tiré de la vraie vie? Ok: Est-ce qu’il y a vraiment une différence entre une personne qui se permet de dire n’importe quoi sur le net pour ensuite se cacher derrière « C’est le net, c’est pas la vraie vie » et un jeune de 5-13 ans qui, bien a l’abri dans la fenêtre du logement de ses parents au 3e étage, se permet de lancer des insultes aux passants parce qu’il peut se cacher derrière « Chus un kid, tu peux pas me frapper », « Chus dans un appartement, tu peux pas rentrer », « Chus un enfant, tu peux pas me poursuivre », « J’ai 10-20-30-40 ans de moins que toi, fa que si tu perds ton temps à argumenter avec moi, t’es immature en estie », etc?

Quand tu insultes, que ce soit en personne, par téléphone, ou sur le net, ça ne change rien au fait que la personne qui insulte, c’est TOI! Si tu n’es pas capable de prendre tes responsabilités pour tes faits, gestes, paroles ou messages écrits, alors tu es aussi bien de lâcher le net parce que t’as pas fini de te les faire remettre dans ta face. Parce que si dans la vraie vie les paroles s’envolent, sur le net les écrits restent. Et se copient-collent.

Le net ne créé pas les les infidèles, les irrespectueux, les lâches et les imbéciles: Il ne fait que leur permettre de confirmer leur existence. C’est simpliste comme analyse, mais c’est justement le propre des agissements négatifs: Être simple.

Il faut douze minutes pour écrire un texte pertinent et bien structuré exprimant ton respect pour pour une personne et ses qualités, ou bien pour lui exprimer ton opinion en amenant des points clairs et pertinents, mais ça prend seulement douze secondes pour l’envoyer chier en le traitant de loser. Pas étonnant que les imbéciles soient les gens les plus négatifs du net: Il ne font que choisir l’option simple. Non seulement c’est ce qui est le plus facile pour eux, c’est généralement la seule option qui est à la portée de leur intellect.