Dans le premier billet de cette trilogie, je raconte que lors de ma relation de deux ans avec Mégane, mon côté carrière a essuyé de nombreux échecs. J’ai été renvoyé abusivement de mon premier boulot de préposé aux bénéficiaires qui me rapportait le double du salaire minimum. Mon employeur suivant a cessé ses activités. S’en suivit un an de chômage dans lequel j’ai écrit un livre révélant des facettes encore jamais étudiées sur le règne de Maurice Duplessis, mais aucun éditeur n’en veut. Et que ma seule perspective d’avenir était de finir dans un abattoir de dindons pour quelques dollars de plus qu’au chômage. Mais puisque Mégane a mis fin à notre relation, je me suis inscrit sur Facebook Rencontres, où j’ai été recruté pour redevenir préposé aux bénéficiaires, cette fois dans les régions maritimes, au triple du salaire minimum.
Dans le second billet, j’explique que contrairement à ce que l’on pourrait s’attendre, les amis, le couple et la famille sont parfois les obstacles qui t’empêchent d’évoluer et de récolter les fruits de tes efforts. Ce billet est surtout consacré à mes parents que j’ai eu à renier, après avoir découvert qu’ils ont passés ma vie entière à saboter mes relations et mes carrières, dans le but de me garder éternellement dépendant d’eux.
Et dans le 3e billet que vous lisez en ce moment, maintenant que je suis libre, mobile, compétent à mon boulot et prospère, je peux enfin repartir ma vie à zéro sans personne pour me la saboter.
… Personne d’autre que moi-même, en fait.
Car en effet, sans plus avoir de parents ni qui que ce soit d’autre de mon ancienne vie pour me remettre à ma place, le seul qui puisse encore me saboter, c’est moi. Aussi, pour éviter que ça arrive, j’ai décidé de suivre dix principes simples qui m’évitent de commettre les erreurs classiques qui pourraient saboter cette nouvelle vie que je me construis.
PRINCIPE 1 : Reconnaitre qu’aucune situation n’est garantie à long terme.
Traduction : Tout va bien maintenant parce que j’ai un bon travail qui me rapporte gros. Mais mes deux derniers boulots d’il a deux ans étaient aussi de bons emplois qui me rapportaient gros, et qui devaient me permettre de commencer enfin à vivre la vie normale d’un adulte normal. Hé, c’est également ce que je disais il y a quatre ans au sujet de mon emploi à La Firme de Sherbrooke, et deux ans plus tard, je devenais itinérant. Fa que tsé!
Et c’est la raison pour laquelle je dois suivre scrupuleusement le…
PRINCIPE 2 : Dire non à la gratification instantanée.
La gratification instantanée, c’est s’offrir une récompense immédiate. Généralement en se lançant dans de grandes dépenses dès que l’on obtient un boulot payant, et ce avant même d’avoir reçu son premier chèque de paie. Par exemple, à l’été de 2020, alors que l’on commençait notre stage au CHSLD à $26 de l’heure, je ne peux plus compter le nombre de fois où mes camarades de classe tout comme mes nouveaux collègues, incluant Mégane, me mettaient de la pression pour que je me paie une auto neuve, un condo, des meubles. Ils disaient tous qu’au salaire que l’on fait, je pouvais bien me le permettre.
J’avais beau leur expliquer que j’avais des dettes, sous la forme de ma marge de crédit à la banque, et de carte de crédit, ils n’en démordaient pas. J’avais droit à des arguments sophistes comme quoi il est normal, lorsque l’on est adulte, d’avoir des dettes. J’ai refusé de les écouter. Leur obstination à insister (ou, de leur point de vue, mon obstination à ne pas les écouter) m’a mis en froid avec certains d’entre eux.
Mais voilà, ceux qui jugent et conseillent ne sont pas ceux qui paient. J’aurais eu l’air fin, tiens, avec des paiements de char de l’année et de condo sur le dos après avoir perdu deux boulots, en me retrouvant au chômage pour un an, et en allant travailler à l’abattoir. J’aurais eu à casser mes contrats d’achats, ce qui m’aurait donné un mauvais dossier de crédit pendant sept ans. Et jamais je n’aurais récupéré mon argent de départ en les revendant. J’aurais décuplé ma dette initiale sans jamais avoir eu les moyens de la rembourser.
D’accord, pour avoir mon emploi actuel, il a fallu que je me procure un véhicule usagé. Mais là c’est différent, puisqu’il m’est nécessaire pour mon travail, au point où son essence m’est remboursée. Ce qui se prend bien en cette époque du autour-du-$2-le-litre.
Mais comme je dis plus tôt, j’ai des dettes, voilà pourquoi, en matière de dépenses, ma priorité est le…
PRINCIPE 3 : Payer mes dettes avant tout.
Mes dettes, c’est ma carte Visa, et la marge de crédit que m’a offert la banque. Ces dettes ne sont pas constituées de dépenses folles, mais bien de nécessités subvenues lorsque mon revenu était insuffisant ou inexistant. J’ai également un prêt auto comme la majorité des propriétaires de véhicules, mais ça c’est moins urgent.
En ce moment, je vis dans un 1½ qui m’est fourni gratuitement. Et franchement je n’ai pas besoin de plus grand. La seule dépense non-nécessaire que je me suis permise est le gym local. Mais à part ça, vivre en spartiate me permet de ne garder dans mon compte de banque que l’argent destiné à l’auto et à mon 3½ à Saint-Jean-Baptiste. Le reste va directement sur ma Visa, qui est prioritaire avec son 19.9% d’intérêts. Au rythme où je la rembourse, encore deux paies et je l’aurai enfin remise à zéro. Je m’attaquerai ensuite à ma marge de crédit de la banque. Et ensuite, ce sera l’auto.
On parle ici d’au moins un an à travailler sans pouvoir disposer librement de mon salaire. Mais ceci importe peu pour moi. Car je crois que vraiment riche est l’homme qui n’a pas de dettes. Et si je ne veux pas avoir de dettes, je dois particulièrement respecter le…
PRINCIPE 4 : Ne pas écouter les conseils des ignorants.
La seule et unique personne qui connait à fond ma situation, c’est moi-même et personne d’autre. Par conséquent, ceux qui me conseillent au sujet de quoi faire de mon argent et de ma vie sont forcément ignorants. Écouteriez-vous les conseils d’un ignorant? Moi non plus!
Parmi les conseils que j’ai reçus, il y a ceux qui ne comprennent pas pourquoi je ne déménage pas dans ma nouvelle ville. Mes raisons sont nombreuses. La première est que j’ai toujours mon bail, je ne peux pas le casser comme ça. Ensuite, avec mes possessions, il me faut au moins un 3½. De nos jours, ça va chercher dans les $1 100 – $1 500. Mon 3½ à Saint-Jean-Baptiste ne me coûte que $500. Puis, il y a le coût et le temps requis pour déménager. On parle de 767 km de distance, ce qui prend 8-9h à parcourir en auto. En camion de déménagement, si on compte le temps pour le charger d’abord, et le décharger après, j’en ai pour deux jours. La location, l’essence, le tarif kilométrique, le motel, les restos… Je dois m’attendre à payer entre $1 000 et $1 200 en tout. Le double, voire le triple, si je loue les services de déménageurs au lieu de tout faire moi-même.
Ensuite, je perdrais ma prime d’éloignement et d’essence. Ajouté au coût du nouveau loyer, on parle d’une perte de $2 000 par mois sur mon budget. Ou $24 000 par année. Une dépense aussi exorbitante que complètement inutile. Surtout quand on pense que cet argent, mis sur mon auto, le rembourserait en entier en moins d’un an.
Enfin, oui, en ce moment, je suis à Carleton-sur-mer. Mais à la fin de mon contrat, on pourrait très bien m’envoyer aux Îles-de-la-Madeleine, Gaspé, Percé, Paspébiac, ou même à la Baie James. J’aurai l’air fin, avec mon 3½ à Carleton. Est-ce qu’il va falloir que je déménage de nouveau? Est-ce qu’il y aura seulement un 3½ de libre?
Pourquoi me mettre de telles complications sur le dos, alors que mon agence se charge de me loger gratis?
Je le répète : ceux qui jugent et conseillent ne sont pas ceux qui paient. J’ai pris ce travail pour payer mes dettes, pas pour les alourdir. Alors n’en déplaise à ceux qui s’obstinent à ne pas vouloir comprendre, je vais continuer de garder mon 3½ à $500 et mon adresse officielle à Saint-Jean-Baptiste, merci, bonsoir.
PRINCIPE 5 : Être en couple même si je suis célibataire.
J’ai eu assez de boulots dans ma vie pour avoir appris à la dure qu’il n’y a rien de pire que d’être célibataire en milieu de travail. Oui, même si on est un homme. Cliquez sur ce lien, ça va ouvrir dans un nouvel onglet un de mes vieux billets intitulé Les 12 risques d’avoir une relation en milieu de travail. Intrigues. Jalousies. Médisance. Étalage de vie privée. Et la principale : si la relation ne dure pas, on se retrouve à devoir côtoyer notre ex cinq jours par semaine, ce qui n’est jamais bonne chose.
Vous me direz que si une collègue du CHSLD m’approche et tente sa chance, je n’ai qu’à lui expliquer les raisons pourquoi je décline ses avances? Ha! Ha! Pauvres naïfs. Vous croyez qu’elle va bien le prendre? On a beau dire que cette situation est moins pire pour les hommes que pour les femmes, j’ai appris à la dure qu’il y a du vrai dans le dicton qui affirme que l’enfer n’a point de furie qui égale celle d’une femme repoussée. D’accord, peut-être ne réagira t-elle pas de manière négative. Mais pourquoi prendre ce risque?
Quant à expliquer que je suis demisexuel, soyons francs, ça ne me tente pas que mon orientation sexuelle soit discutée dans mon milieu de travail. Et encore moins mise en doute par des ignorants qui ne se donneront pas la peine de faire des recherches, ne serait-ce que pour apprendre que oui, ça existe.
Et le harcèlement sexuel au féminin en milieu de travail, vous connaissez? Oui, ça aussi ça existe! Je l’ai vécu. Alors imaginez quand elle va en plus raconter ça à nos collègues, en inversant les rôles. En cette époque de #MeToo #OnVousCroit #DénonceTonPorc, il n’en faudrait pas plus pour détruire ma carrière présente et future. Là encore, ce genre de truc, je ne l’ai toujours vécu que lorsque l’on me savait célibataire.
Aussi, d’expérience, j’ai constaté qu’une conjointe rencontrée au travail sera étrangement portée à laver notre linge sale publiquement à ce même travail. Je l’ai vécu à chaque fois que j’en ai eu une. Et dans l’un des cas, il a même fallu que je démissionne, tellement elle avait injustement dégueulassé ma réputation.
Voilà pourquoi au travail je dis que je suis en couple, même lorsque je suis célibataire. C’est le seul moyen pour s’éviter tout ce cirque. Comme ça, mon milieu de travail reste harmonieux, l’atmosphère reste positive, et c’est la tête libre de ces soucis inutiles que je vais travailler, à cet endroit dans lequel j’aime travailler. Et je ne veux pas que ça change.
Cependant, il ne faut pas croire que je tiens à passer le reste de mes jours sans amour. Voilà pourquoi j’ai le…
PRINCIPE 6 : Si je me prend vraiment une copine, choisir une femme de carrière et occupée.
Deux raisons. D’abord, parce que si elle est occupée, elle ne va pas passer son temps à chialer comme quoi je la néglige parce que je travaille trop. Et ensuite, si elle gagne bien sa vie, elle connait la valeur de l’argent et du temps requis pour le gagner. En plus que je n’aurai pas à payer pour deux.
PRINCIPE 7 : Garder certains secrets par prévention du sabotage.
Il y a quelques années, lorsque je me suis trouvé un emploi de surintendant dans une tour à condos de luxe, j’ai parlé de la chose de long en large dans ce billet de blog, incluant photos de la place. Une semaine plus tard, mes patrons recevaient une lettre anonyme qui racontait les pires choses à mon sujet. Lettre évidemment envoyée par un ennemi qui prenait mal que mes efforts pour me sortir de la merde portaient fruit. Mais voilà, cette lettre n’a eu aucun effet négatif. D’abord parce que la personne décrite dans cette missive ne me ressemblait en rien. Ensuite parce que la majorité de mes soi-disant défauts n’avaient aucun rapport avec mon travail. Et enfin, parce qu’en travaillant avec moi, mes patrons savaient ce que j’étais et ce que je valais. Ils m’ont donc juste remis la lettre en riant, en me disant que mon succès ne semblait pas plaire à tout le monde.
Ici, vous constaterez qu’en effet, je ne dis pas explicitement où je travaille. Je pourrais le faire. D’abord, parce que là encore, mes employeurs savent ce que je vaut, et c’est la raison pourquoi on m’offre autant de temps supplémentaire. Et ensuite, admettons que je perde cet emploi. Et alors? Mon employeur véritable, ce n’est pas le CHSLD. C’est l’agence de placement. Si mon CHSLD actuel décide de se passer de mes services, mon agence va immédiatement me relocaliser dans un autre CHSLD, et je serai relogé tout près gratuitement. Ça me fera juste voyager et découvrir de nouveaux horizons, chose que je ferai peut-être de toute façon à la fin de mon contrat actuel. Alors pour ce que ça va changer.
PRINCIPE 8 : Éviter toute vie sociale.
Parce que dans mon cas particulier, la vie sociale peut avoir un côté négatif, et un côté positif qui aura des conséquences négatives.
Du côté positif, admettons que je me fasse une vraie bonne bande de copains avec qui il fait bon socialiser. Ça va entrer en conflit avec mes plans de carrière et financiers. Ça implique travailler moins d’heures supplémentaires afin de pouvoir les fréquenter. Et ça me laisse le choix entre demeurer ici afin de ne pas briser notre amitié, ou continuer de voyager et vivre le désagrément de les quitter. Bref, ça ferait d’eux un entourage qui fait obstacle à mon évolution, du même genre de ceux dont je parle dans les deux précédents billets.
Quant au côté négatif, la vie sociale implique des sorties. Et qui dit sortie dit restos, alcool, essence, ce qui n’est pas gratuit, ce qui interfère sur mon plan de remboursement de dettes.
Et avoir des amis, c’est s’exposer encore une autre fois aux jugements et à la pression sociale de « profiter de mon argent si durement gagné », et de « m’acheter un char de l’année pis un condo à c’t’heure que je peux me le permettre », et surtout de « déménager icite puisque je paye un appartement pour rien à Saint-Jean-Baptiste. » Je déteste devoir me répéter presque autant que j’ai en horreur l’obligation de me justifier.
Et justement, l’une des manière d’éviter de devoir faire ça, c’est de suivre le…
PRINCIPE 9 : Ne jamais parler de mon passé de dessinateur et d’auteur d’humour à qui que ce soit.
Lisez cette conversation, que j’ai eue avec une correspondante de Facebook rencontres le 21 septembre dernier. J’ai eu le malheur de lui envoyer une de mes œuvres, histoire de l’amuser. Et voyez le résultat:
Et voici une autre conversation avec une autre femme de FB Rencontres, survenue un mois plus tôt.
Et en effet, cette détestable conversation, je l’ai déjà eue des dizaines de fois. Bizarrement, c’était toujours lorsque j’étais au début d’une bonne carrière avec un bon salaire. Dès que je montre ce que je sais faire en texte et en dessin, c’est immanquable, on insiste pour me faire lâcher ma bonne carrière sérieuse naissante, afin de me faire replonger dans celle qui m’a laissé sous le seuil de la pauvreté pendant les trente-cinq ans où je l’ai exercée.
Donc, leçon apprise: À mon nouveau travail, personne ne saura jamais que je suis un wannabe-artiste juste assez bon pour amuser les gens, mais vraiment pas assez talentueux pour faire carrière dans le domaine. Il m’est déjà arrivé par le passé de perdre un emploi après 24h, parce que mon CV ne montrait qu’un passé artistique. C’était un PKF, justement. En me renvoyant, la patronne m’a dit:
« Tu as beaucoup trop de potentiel pour le perdre à travailler à un travail bas de gamme comme celui-ci. Je ne te rendrais pas service de te garder à mon emploi. »
Et m’empêcher de gagner ma vie, ça me rend service, d’après toi, pauvre tarte? En tout cas, faire valoir mes talents artistiques dans un milieu qui n’en demande aucun, voilà une erreur que je ne commettrai plus.
PRINCIPE 10 : Attendre de pied ferme le syndrome de l’imposteur.
Comme moi, beaucoup de gens ont passé leur vie entourés de gens qui les rabaissaient, histoire de les remettre à leur place. Aussi, même si comme moi ils se sont débarrassés de leurs agresseurs, il reste que leur travail de destruction a laissé des traces. Ces gens n’ont donc aucune confiance en eux ni en leurs capacités.
Dans ce temps-là, lorsque comme moi ils ont l’opportunité de briller dans la carrière qui leur convient le mieux, ce manque de confiance en soi font qu’ils finissent par ne pas se sentir à leur place. Inconsciemment, ils sentent qu’ils ne méritent pas de recevoir ce positif. Ils quittent alors volontairement ce travail. Ou alors ils sont portés à s’auto-saboter en y commettant des erreurs délibérées ou bien en faisant preuve de négligence.
Eh bien moi, il n’est pas question que ça m’arrive. Si je me suis débarrassé des saboteurs qui empoisonnaient mon existence, ce n’est certainement pas pour faire leur travail de destruction à leur place. Aussi, croyez-moi que je suis à l’affut du moindre signe dans mon comportement qui puisse démontrer que je commence à être atteint de ce syndrome. Ça ne risque donc pas d’arriver.
En suivant ces dix principes, non seulement je m’assure de garder mon emploi longtemps, j’aurai remboursé toutes mes dettes, incluant mon prêt automobile, avant qu’un an se soit écoulé. Je pourrai ensuite passer les dix années qui me restent avant l’âge de la retraite à m’en assurer une qui sera confortable.
Et franchement, avec la vie que j’ai vécue et tout ce que j’ai fait pour m’en sortir, je l’aurai bien mérité.
Pour moi, le principe 4 est le plus important. Souvent, à force de se faire dire des niaiseries par son entourage, on fini par les croire et a agir comme si c’était des vérités. Parfois, ça peut-être suffisamment subtile et insidieux pour se faire avoir sans s’en rendre compte. Ça fini par rentrer dans notre inconscient tellement ça fait parti de ce qui nous semble normal, ce qui est plus dangereux et problématique que ce qu’il n’y paraît!
Par ailleurs, pour ce qui est de ne pas parler de ton passé d’humoriste, je comprends ta souffrance, mais en même temps si tu te sert de ton humour pour draguer et que les demoiselles essaient de t’encourager, je ne pense pas qu’il faille leur en vouloir parce que ce n’est pas mal intentionné.
Ton talent est là, certes, mais dans le monde des arts, le talent à lui seul n’est pas suffisant. Il aussi être industrieux en affaire parce que le show business, c’est aussi du business (entres autres).
En ce qui concerne le principe 6, j’en suis arrivé à la même conclusion. Il n’est pas suffisant de trouver une femme qui nous respecte, il faut aussi qu’elle respecte la valeur de notre temps. En plus, avec la carrière vient souvent l’argent, ce qui donne un niveau d’autonomie intéressant quand on l’est soi-même. Sans vouloir être prétentieux, on retrouve rarement ça dans les couches inférieures de la société…
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