Le Party avec Salvail chez Rozon (2e partie)

Bien que ces réactions sont à classer dans le dossier CES TRUCS QUE JE NE COMPRENDRAI JAMAIS, il reste que c’est quelque chose que l’on voit (trop) souvent: Il se produit un geste illégal et/ou immoral. Tout le monde le voit, mais personne ne réagit… Sauf UNE personne.  Et étrangement, ça donne la honte aux autres. Ils prennent ça comme une attaque personnelle, comme si l’action de l’intervenant était une dénonciation de leur propre inaction.

Aimez-vous qu’on vous fasse honte en vous attaquant? Eux non plus! Alors leur premier réflexe est de contre-attaquer. Première chose à faire : se prouver à soi-même et aux autres que non, la personne qui a agi ne leur est pas supérieure moralement. On lui invente donc des motifs cachés immoraux.

Autre truc que je ne comprendrai jamais: Depuis plusieurs années, il y a une grande vague de dénonciations envers des gestes autrefois perçus comme étant anodins, et reconnus aujourd’hui comme étant du harcèlement sexuel.  Ou, variante, on dénonce des comportements qui, si on les laisse passer, pourraient éventuellement évoluer en une forme de harcèlement sexuel.  On dénonce à tour de bras, on tire partout, on cherche dans le moindre comportement, on râtisse large, on analyse tout ce qui puisse être perçu comme tel, afin d’en crucifier son auteur sur la place publique.

Par contre, quand on a la chance d’en trouver un qui a vraiment commis un viol, alors là, personne ne le dénonce.  Tout le monde le protège.  Et malheur à celui qui voudrait l’exposer, c’est plutôt lui qui va voir sa réputation se faire salir.

Plus on cherche à criminaliser les innocents qui sont, dans le meilleur des cas des agresseurs optentiels, et moins on veut reconnaitre comme étant des criminels ceux qui le sont vraiment.

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2 réflexions au sujet de « Le Party avec Salvail chez Rozon (2e partie) »

  1. Ping : Le Party avec Salvail chez Rozon (1ère partie) | Mes Prétentions de Sagesse

  2. Dans la série CES TRUCS QUE JE NE COMPRENDRAI JAMAIS.

    Depuis plusieurs années, il y a une grande vague de dénonciations envers des gestes autrefois perçus comme étant anodins, et reconnus aujourd’hui comme étant du harcèlement sexuel, ou bien des comportements qui, si on les laisse passer, puissent évoluer en une forme de harcèlement sexuel.

    On dénonce à tour de bras, on tire partout, on cherche dans le moindre comportement, on analyse tout ce qui puisse être perçu comme tel, afin d’en crucifier son auteur sur la place publique.

    PAR CONTRE… Quand on a la chance d’en trouver un qui a VRAIMENT commis un viol, alors là, personne ne le dénonce, tout le monde le protège, et malheur à celui qui voudrait l’exposer, c,est lui qui va voir sa réputation se faire salir.

    Bref, plus on cherche à incriminer les innocents, ou au pire les criminels potentiels, et moins on veut reconnaitre comme étant coupables ceux qui le sont vraiment.

    Trouvez l’erreur?

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