À SUIVRE
C’est une réaction classique que l’on voit (trop) souvent: Quelque chose d’illégal / immoral se passe. Tout le monde le voit, mais personne ne réagit… Sauf UNE personne. Ça donne la honte aux autres. Ils voient l’action de cette personne comme une dénonciation de leur propre inaction. Ils prennent ça comme une attaque personnelle.
Aimez-vous qu’on vous fasse honte en vous attaquant? Eux non plus! Alors leur premier réflexe est de contre-attaquer. Première chose: Prouver, à soi-même et aux autres, que non, la personne qui a agi n’est pas moralement meilleure qu’eux. On cherche donc à trouver un motif caché (et croche) pour expliquer son action.
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Dans la série CES TRUCS QUE JE NE COMPRENDRAI JAMAIS.
Depuis plusieurs années, il y a une grande vague de dénonciations envers des gestes autrefois perçus comme étant anodins, et reconnus aujourd’hui comme étant du harcèlement sexuel, ou bien des comportements qui, si on les laisse passer, puissent évoluer en une forme de harcèlement sexuel.
On dénonce à tour de bras, on tire partout, on cherche dans le moindre comportement, on analyse tout ce qui puisse être perçu comme tel, afin d’en crucifier son auteur sur la place publique.
PAR CONTRE… Quand on a la chance d’en trouver un qui a VRAIMENT commis un viol, alors là, personne ne le dénonce, tout le monde le protège, et malheur à celui qui voudrait l’exposer, c,est lui qui va voir sa réputation se faire salir.
Bref, plus on cherche à incriminer les innocents, ou au pire les criminels potentiels, et moins on veut reconnaitre comme étant coupables ceux qui le sont vraiment.
Trouvez l’erreur?
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